Les étiquettes apposées sur les produits dangereux ont toujours fourni des informations sur les propriétés des substances ainsi que sur les mesures de sécurité que l’utilisateur doit impérativement prendre en considération. Toutefois, ces étiquettes sont-elles bien compréhensibles pour le grand public? Les utilisateurs ont-ils vraiment conscience des dangers que présentent ces produits et les directives et conseils d’utilisation présentés sur les étiquettes sont-ils réellement appliqués dans la pratique?
Cela fait plus de 150 ans que les entreprises font appel à des experts afin de mettre en place, pour leur personnel, un environnement de travail sûr et sain. Le rôle, la formation et les compétences de ces spécialistes ont naturellement évolué au cours des années. Andrew Hale (1), professeur à l'université technique de Delft, esquisse cette évolution et s’interroge sur l’orientation que prendra cette profession dans le futur.
L'analyse des statistiques relatives à la sécurité et la santé au travail démontrent que les jeunes font partie d'un groupe à risque. Les accidents dont ils sont victimes sont plus légers et ils reprennent plus rapidement le travail que leurs aînés. Voici un tour d'horizon en chiffres.
Le 30 juillet 2007, la Résolution du Conseil du 25 juin 2007 relative à une nouvelle stratégie communautaire pour la santé et la sécurité au travail (2007-2012) est parue dans le Journal Officiel. En quoi consiste cette nouvelle stratégie? Et comment réagissent les syndicats européens?
La presse a fait largement écho de l’abandon, dans un cul-de-sac à Alost, d’un travailleur illégal gravement blessé. Au lieu de conduire l’ouvrier à l’hôpital, l’entrepreneur en construction l’a abandonné à son sort au milieu de nulle part. Un fait divers dramatique qui propose un aréopage de tout ce qu’il ne faut pas faire…
Certains types de faits tiennent à la fois de la violence ou du harcèlement et de l’accident du travail. Dans quels cas ces faits seront-ils reconnus comme accident du travail et quelles sont les conséquences pratiques de cette reconnaissance?
La Fondation européenne pour l'amélioration des conditions de vie et de travail s'est penchée sur les principales évolutions qu'a connu le milieu du travail dans l'Union européenne entre avril et décembre 2004. PreventActua vous en présente les conclusions les plus marquantes.
La catastrophe nucléaire à Fukushima (Japon) a fait des rayonnements ionisants un problème aigu. Quelle est la réglementation applicable en Belgique en matière de protection contre les rayonnements ionisants?
Les travailleurs qui entrent (ou peuvent entrer) en contact avec des rayonnements ionisants sont soumis à la surveillance de la santé obligatoire. Quelle est la réglementation applicable?
La loi du 30 mars 2011 modifiant la loi du 15 avril 1994 relative à la protection de la population et de l'environnement contre les dangers résultant des rayonnements ionisants et relative à l'Agence fédérale de Contrôle nucléaire et modifiant la loi du 11 décembre 1998 relative à la classification et aux habilitations, attestations et avis de sécurité est paru dans le Moniteur belge du 18 avril 2011.
Le Nederlandse Gezondheidsraad (Conseil néerlandais de la Santé) a demandé à un groupe d'experts de fixer une valeur limite pour la pression au travail. Dans leur avis, les experts indiquent qu'il est impossible, actuellement, de donner une valeur limite pour la pression au travail vu l'absence de définition univoque.
Quelle est l’attitude des entreprises vis-à-vis des inspections dans l’entreprise? Le service externe HDP-Arista s’est penché sur la question et a interrogé 475 entreprises sur leurs expériences en matière d’inspection. L’enquête portait notamment sur les visites de l’inspection sociale, du contrôle sur le bien-être au travail et de l’ONEM.