En Belgique, 60.000 personnes souffrent d’épilepsie, une maladie qui touche une personne sur 150. Bien qu’elle apparaisse souvent à l’enfance, elle peut aussi se déclencher à n’importe quel moment de la vie. Il y a plusieurs formes d’épilepsie. Il est donc important de ne pas généraliser. La plupart des personnes souffrant d’épilepsie peuvent mener une vie normale et travailler.
Une étude récente révèle qu’un tiers des travailleurs malades de longue durée pourraient et voudraient travailler. Il s’agit là d’un potentiel de main d’œuvre inexploitée dans un marché du travail en quête désespérée de travailleurs et ce, alors que les indemnités en cas de maladie explosent littéralement. Dans cet article d’opinion, le médecin du travail Edelhart Kempeneers explique ce qui nous empêche d’utiliser ce potentiel.
Une étude des autorités françaises, menée avec l’Organisation internationale du travail, s’est penchée récemment sur les discriminations liées aux activités syndicales en France. Quels en sont les résultats? Sont-ils comparables à la situation en Belgique? Un sujet d’actualité: les élections sociales auront lieu dans notre pays du 11 au 24 mai 2020.
À la demande du Ministère néerlandais des Affaires sociales et de l’Emploi, Prevent a effectué une étude comparative sur la manière dont plusieurs pays européens ont intégré les principaux éléments de la directive-cadre dans leur propre réglementation. Cette série d’articles est une initiative exclusive de Prevent et paraît sous la responsabilité de la rédaction.
À la demande du Ministère néerlandais des Affaires sociales et de l’Emploi, Prevent a effectué une étude comparative sur la manière dont les pays européens ont intégré les principaux éléments de la directive-cadre dans leur réglementation. Le rapport final de cette étude1 a récemment été présenté au donneur d’ordre et accepté par ce dernier.
Le SPF Emploi, Travail et Concertation sociale a préparé un mémorandum concernant l’emploi à l’attention du prochain gouvernement fédéral. Le bien-être au travail est aussi évoqué. Que recommande le SPF en la matière?
Chaque entreprise doit avoir un service interne de prévention et protection au travail. Ce service a pour mission générale d'apporter son aide à l'employeur, à la ligne hiérarchique et aux travailleurs dans le cadre de la politique de prévention. Un aperçu des principales missions et tâches de ce service.
La responsabilité finale de l’analyse des risques incombe à l’employeur. Mais quel est le rôle concret d’un service externe pour la prévention et la protection au travail (SEPPT) dans le cadre de l’analyse des risques, et plus particulièrement dans le cas des entreprises D, les entreprises de moins de 20 travailleurs où l’employeur peut endosser le rôle de conseiller en prévention?
La Directive 2019/1833/UE apporte des modifications à la Directive Agents biologiques. Les Etats membres ont jusqu’au 20 novembre 2021 pour transposer ces nouvelles dispositions en droit national.
Une directive européenne publiée le 1er février 2017 établit la quatrième liste de valeurs limites indicatives d'exposition professionnelle (VLIEP). Cette liste comprend 31 substances.
Aujourd’hui, sur les 190 conventions de l’Organisation internationale du Travail (OIT), plus de 40 traitent spécifiquement de la sécurité et de la santé au travail (SST). Ces instruments fournissent des normes minimales visant à contrôler et maîtriser les risques liés au travail et à protéger les travailleurs dans des professions et des situations de travail très diverses. Comment ont-elles vu le jour? Quelle évolution ont-elles connue?
Deux arrêtés, parus dans le Moniteur belge du 10 avril 2014, intègrent les modalités d’application du concept d’accident bénin dans la réglementation sur les accidents du travail, les premiers secours et le rapport annuel des services internes de prévention et de protection.