Les dispositions publiées dans le Moniteur Belge du 15 mai 2023 améliorent la protection des travailleurs et des témoins contre les représailles de l’employeur en matière de discrimination et de violence, de harcèlement moral ou sexuel au travail.
Le rapport sur les conditions de travail 2021 en Belgique révèle différentes tendances: risques psychosociaux et troubles musculosquelettiques en augmentation, qualité du travail en baisse mais qualité de l’emploi en hausse.
Point de contact des travailleurs en cas de problèmes psychosociaux au travail, la personne de confiance écoute, conseille et sert de médiateur. Sa désignation, son rôle précis et ses tâches sont définis dans la législation sur le bien-être au travail.
L'Organisation internationale du Travail (OIT) a publié un guide de prévention de la violence et au harcèlement dans le monde du travail à l'intention des employeurs.
Les résultats de deux enquêtes menées en 2022 auprès d’étudiants de grandes écoles de management françaises (respectivement 3481 et 2616 répondants) sont présentées sur theconversation.com. L’étude souligne l’importance du lien social et des pratiques managériales innovantes pour fidéliser et engager les jeunes générations dans les entreprises.
La Chambre a adopté le 16 février 2023 le projet de loi portant assentiment à la Convention n°190 de l’Organisation internationale du travail (OIT) sur l’élimination de la violence et du harcèlement dans le monde du travail.
Pour prévenir la discrimination au travail, Unia, l’institution publique indépendante qui lutte contre la discrimination et défend l'égalité des chances en Belgique, préconise notamment d’adapter la législation antidiscrimination afin d’obliger les employeurs à prendre des mesures de prévention pour garantir l'égalité de traitement. Comment propose-t-elle de s’y prendre?
Qu’arrive-t-il si, après une relation amoureuse entre collègues, l’un(e) des employés(es) est victime de harcèlement dans ce contexte et développe une dépression nerveuse? Est-ce alors un accident de travail? Voilà la question que se pose un avocat canadien dans le Journal de Montréal, en se basant sur un cas récent.
La Journée mondiale de la santé mentale a eu lieu le 10 octobre. Une note d’information conjointe de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l’Organisation internationale du Travail (OIT) appelant à s'attaquer aux problèmes de santé mentale au travail a été publiée à cette occasion.