La législation sur le bien-être au travail stipule désormais explicitement que l’analyse des risques à effectuer par l’employeur d’un domestique (ménage, garde d’enfants, nettoyage,…) peut se faire via un outil OIRA (Online Interactive Risks Assessment) dédié: OiRA Domestiques.
Dans cette série d’articles, Guy Debleeckere cherche une méthode simple, universelle et systémique pour analyser les risques et les accidents. Dans ce dernier article, il applique le modèle HEEPO interactif pour analyser un accident impliquant un recycleur de solvants.
Dans cette série d’articles, Guy Debleeckere cherche une méthode simple, universelle et systémique pour analyser les risques et les accidents. Dans cette première partie, il explore le modèle SHELL et nous présente HEEPOR.
Bien analyser les risques au niveau de l’organisation peut éviter toutes sortes de dommages à l’entreprise. Pour cette analyse, il est important de pouvoir compter sur une équipe multidisciplinaire. L’expert en sécurité Ronny Maes nous en explique les modalités d’exécution.
Les mouvements syndicaux du monde entier associent depuis longtemps la journée du 28 avril avec la commémoration des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles. L'Organisation internationale du travail (OIT), qui a commencé à célébrer la Journée mondiale pour la sécurité et la santé au travail en 2003, met l'accent sur la prévention des accidents et maladies liés au travail.
Pour les aider à réaliser une analyse des risques, les PME peuvent compter sur des outils d’évaluation des risques en ligne tels qu’OiRA (Online interactive Risk Assessment). Les États membres de l’UE qui ont intégré la promotion d’OiRA dans leur stratégie nationale de sécurité et de santé au travail, ont développé un plus grand nombre d’outils et leurs PME sont plus nombreuses à avoir recours à OiRA.
Dans la série consacrée aux critiques sur la méthode Kinney, Pieter De Munck et Guy Debleeckere ont démontré, respectivement, les possibilités d’amélioration et les faiblesses méthodologiques de cette méthode. Dans cet article, Jan Dillen approfondit les faiblesses de la méthode et de ses alternatives.
Dans la dernière partie de cette série de quatre articles, le conseiller en prévention et professeur Guy Debleeckere tire les conclusions de son comparatif de quatre méthodes d’évaluation (méthode Kinney, matrice des risques, graphe des risques et méthode hybride).
Dans la partie 3 de cette série de quatre articles, le conseiller en prévention et professeur Guy Debleeckere confronte quatre méthodes d’évaluation (méthode Kinney, matrice des risques, graphe des risques et méthode hybride) à trois scénarios de risque.
Dans la partie 2 de cette série de quatre articles, le conseiller en prévention et professeur Guy Debleeckere, aborde les aspects méthodologiques de trois autres méthodes d’évaluation[1]: la matrice des risques, le graphe des risques et la méthode hybride. Retrouve-t-on ici aussi les problèmes épinglés dans la méthode Kinney?
[1] Ces trois méthodes sont décrites entre autres dans le Rapport technique ISO TR 14121-2 Sécurité des machines - Appréciation du risque - Partie 2: lignes directrices pratiques et exemples de méthodes. Ces méthodes sont celles qui conviennent le mieux pour les risques liés aux machines; elles sont aussi largement utilisées dans le cadre de tout type d’analyse des risques liés à la tâche (ART).