Les maladies cardiovasculaires et les accidents vasculaires cérébraux sont les causes les plus courantes de décès dans le monde, entraînant l’hospitalisation et l’invalidité. Peu d’études portent sur les conséquences sociales de ces accidents cardiaques sévères. Pourtant un tiers des crises cardiaques, 25% des accidents vasculaires cérébraux et 40% des arrêts cardiaques surviennent chez des personnes de moins de 65 ans en âge de travailler.
D’un point de vue biologique, le stress est une réaction à une situation menaçante. Mais tout le monde n’a pas la même définition du terme ‘menaçant’. Selon les psychologues, la réaction de stress dépend donc de la perception d’une situation comme étant hostile ou menaçante et des ressources pour la gérer.
Les cas de malaise cardiaque chez les sportifs, notamment chez les jeunes, se multiplient, tant en Belgique qu’à l’étranger. Ces malaises ont parfois une issue fatale. La Communauté française a décidé de renforcer la protection de la santé des sportifs et d’imposer aux infrastructures sportives situées sur son territoire l’installation d’un défibrillateur externe automatique (DEA).
Chaque année, environ 15.000 Belges sont victimes d'un arrêt cardiaque ou d'un infarctus. Lorsqu'un tel phénomène se produit, les premières minutes sont cruciales pour sauver la victime. Dès lors, les secours arrivent bien souvent trop tard. C'est pourquoi, la mise à disposition de défibrillateurs automatiques externes (DAE) dans des lieux à haute fréquentation participe à sauver des vies. En envoyant un choc électrique salvateur, cet appareil permet d'augmenter sérieusement les chances de survie de la victime.
L’AR du 2 mars 2011 modifiant l’AR du 23 mars 1998 relatif au permis de conduire (MB du 8 mars 2011) assouplit les critères d’aptitude à la conduite des patients cardiaques. Ils peuvent être déclarés aptes à la conduite plus rapidement.