Les nanomatériaux sont de minuscules particules offrant de nombreuses possibilités technologiques, mais qui ne sont pas sans risque. Leur utilisation et transport nécessitent donc certaines mesures de précaution.
Avec ses très nombreuses possibilités, l’impression 3D a le vent en poupe. Mais qu’en est-il pour le groupe sans cesse croissant de travailleurs exposés aux risques de l’impression 3D? Geert Appeltans, conseiller en prévention chez Materialise, explique comment les travailleurs de cette entreprise belge cotée en bourse et spécialisée dans les applications 3D sont protégés contre les différents risques.
Il existe encore de grandes zones d’ombre autour des risques liés aux nanomatériaux. La Belgique veut donc établir un registre des nanomatériaux mis sur le marché, afin de pouvoir intervenir rapidement et efficacement si un de ces nanomatériaux se révélait dangereux pour la santé publique.
Les émissions de CO2 doivent diminuer, les déchets doivent être recyclés, l’efficience énergétique doit être améliorée et il faut produire une énergie plus durable. Pour y parvenir, de nouvelles technologies et de nouveaux processus de production seront développés, ce qui créera de nouveaux emplois. Ces "emplois verts" comporteront toutefois de nouveaux risques pour la sécurité et la santé des travailleurs. L’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (EU-OSHA) a étudié quelles sont les conséquences possibles de l’économie verte pour le bien-être des travailleurs européens.
Notre électricité provient de plus en plus de l’énergie éolienne. Dans les années à venir, le nombre d’éoliennes devrait encore augmenter. Et avec elles, les emplois dans ce secteur. L’installation d’éoliennes n’est toutefois pas une sinécure, en raison de la hauteur de travail et des conditions météorologiques auxquelles ces machines sont soumises.
Les possibilités d'application de l'informatique semblent inépuisables en ces temps où la technologie fait partie intégrante de notre quotidien. Les smartphones ont opéré ces dernières années une percée remarquable, y compris comme outil de travail, dans le monde en constante mutation des technologies de l'information. Des étudiants suivant la formation de Conseiller en prévention en sécurité niveau 1 à l'Antwerp Management School se sont penchés sur les effets que pouvaient avoir les smartphones sur le bien-être des utilisateurs.
Cet article a été écrit par Rik Op de Beeck de Prevent, promoteur d’une étude réalisée par Marc Hoppenbrouwers, Peter Mertens, Erik Mondelaers et Frank Weckx
Bien que les nanomatériaux soient de plus en plus utilisés, de nombreuses incertitudes subsistent quant aux risques potentiels qu’ils représentent pour la santé. Comme des travailleurs pourraient déjà être exposés aux nanoparticules, l’organisme de recherche flamand VITO a cherché à définir une politique permettant d’allier sécurité et travail avec des nanoparticules.
À l’heure actuelle, on ne sait pas encore grand-chose des dangers des nanoparticules pour la santé. La science tâtonne, essentiellement pour leurs conséquences à long terme. C’est la raison pour laquelle les Pays-Bas envisagent de consigner les données relatives aux travailleurs exposés à des nanoparticules. Ces informations pourront ultérieurement être mises en relation avec les données médicales de ces travailleurs, et permettront de la sorte une meilleure compréhension des conséquences potentielles de l’exposition aux nanoparticules pour la santé.
Considérée comme la révolution technologique du 21e siècle, les nanomatériaux sont en pleine expansion. Au vu des connaissances encore relativement limitées sur le sujet, leur impact sur la santé pose de nombreuses questions. Quels sont les risques et comment s'en protéger? Objectif Prévention fait le point sur la question.
Les équipements de protection individuels (EPI) ont pour vocation de protéger leurs utilisateurs face aux risques qu’ils encourent. Leur principal avantage réside dans leur adaptation précise aux risques en question et aux circonstances. Certaines évolutions récentes, comme le recours aux systèmes d’identification automatique, peuvent encore améliorer le suivi de ces équipements.